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Amicale des Amateurs de Nids à Poussière

Amicale des Amateurs de Nids à Poussière

Le Blog de l'Amicale Des Amateurs de Nids À Poussière (A.D.A.N.A.P.) est un lieu de perdition dans lequel nous présentons revues, vieux papiers, journaux, ouvrages anciens ou récents, qui s'empilent un peu partout, avec un seul objectif : PARTAGER !

Une notice bibliographique de six volumes que l'on rencontre peu souvent ensemble, les nouvelles d'Arthur Conan Doyle (1859 – 1930) consacrées au héros dont il ne pouvait se débarrasser, Sherlock Holmes, et publiées chez Félix Juven (1862 – 1947), fondateur de la Société d’Édition et de Publications en 1904, éditeur depuis la fin du XIXe.

 

Sherlock Holmes connut un succès fracassant dès sa parution, en Grande-Bretagne, mais aussi en France. Il fait son apparition sur le continent dès la fin du XIXe, dans les journaux et revues, et en volume chez Hachette, avec La marque des quatre : roman anglais, en 1896, traduit par Jeanne Louise Marie de Polignac (1861–1919), épouse comtesse d’Oilliamson, ses pseudonymes ou initiales sont Jane Chalençon, P. O., F. O. La comtesse traduisit les trois premiers recueils de nouvelles dont il est question ici, le quatrième et le cinquième demeurent anonymes, le sixième est crédité à Henry Evie (connu comme traducteur des Raffles, par Hornung). Ce sont ces traductions qui seront diffusées par Juven, dans diverses collections et présentations, illustrées ou non, rééditées souvent. La Société d’Édition et de Publications est reprise en 1913 par la maison La Renaissance du Livre*, les recueils publiés à cette enseigne sont repris des volumes Juven**. A noter qu'il y eut des traductions parallèles de Conan Doyle, Mme Charleville pour Un crime étrange, devenu Une étude en rouge, chez Delagrave, par exemple. Il existe peu d'informations sur la traductrice originelle, elle fut l'épouse du comte François Marie Guillaume d'Oilliamson, et précédemment, Princesse de Polignac, et commis quelques traductions, probablement par désœuvrement étant donné la rareté de ses travaux.

Une fois cette provenance clarifiée, il est difficile de préciser les éditions successives, sans date le plus souvent, ou peu clairs dans la notation, réédités d'une année sur l'autre ou dans l'année, sous différentes présentations ou collections : Sherlock Holmes est un phénomène littéraire.

 

La Bibliothèque Nationale (BNF) date la première parution des Aventures de Sherlock Holmes de 1904. Si l'on en croit le programme de publication des livres en main, il s'agit de la collection Bibliothèque Femina, créée en juin 1902*, une dénomination abandonnée pour les deux derniers recueils. Avant de faire le détail de ces six exemplaires en particulier, on peut affirmer sans se tromper qu'ils ont été vendus entre 1904 et 1910, en l'attente de données bibliographiques plus pointues.

Il s'agit de reliure de l'éditeur sans marque distinctive signalant une autre origine. Le manque d'illustrations est compensé par une présentation bourgeoise, très soignée, du plus joli effet dans une bibliothèque. J'emprunte quelques termes d'une description élégante : reliure demi-chagrin in-dix-huit jésus, dos havane, titre frappé or et filets or, papier marbré aux plats, marque-page en tissu vert, pages de garde peignées à motif "caillouté", tranches lisses, sans illustration.‎

 

* Chronologie de L’Edition Française de 1900 à nos jours .

** Certains titres numérisés depuis les volumes de La Renaissance du Livre sont disponibles sur Wikisource.

Les six volumes de nouvelles : Les Aventures de Sherlock Holmes. — Nouvelles Aventures de Sherlock Holmes. — Souvenirs de Sherlock Holmes. — Nouveaux Exploits de Sherlock Holmes. Résurrection de Sherlock Holmes. — Sherlock Holmes triomphe.

Les six volumes de nouvelles : Les Aventures de Sherlock Holmes. — Nouvelles Aventures de Sherlock Holmes. — Souvenirs de Sherlock Holmes. — Nouveaux Exploits de Sherlock Holmes. Résurrection de Sherlock Holmes. — Sherlock Holmes triomphe.

pages de garde peignées à motif "caillouté".

pages de garde peignées à motif "caillouté".

Pour mémoire, Félix Juven publia les œuvres suivantes d'Arthur Conan Doyle : Les Aventures de Sherlock Holmes. — Nouvelles Aventures de Sherlock Holmes. — Souvenirs de Sherlock Holmes. — Nouveaux Exploits de Sherlock Holmes. Résurrection de Sherlock Holmes. — Sherlock Holmes triomphe. — Mémoires d’un Médecin — Le Drapeau vert. — Le Crime du Brigadier. — Les Exploits du Colonel Gérard — Les Réfugiés. — La Compagnie Blanche (2 vol.) : I. Les Moines Guerriers. — II Les Épées Glorieuses. — Notre-Dame de la Mort.

(Programme de publication de la Collection in-12 à 3 fr. 50, source BNF, vérifié sur Opale).

Programme de publication de la Collection in-12 à 3 fr. 50.

Programme de publication de la Collection in-12 à 3 fr. 50.

Les Aventures de Sherlock Holmes – Conan Doyle

Traduit de l'anglais par P. O.

Paris, Félix Juven, Éditeur, 13 Rue De L'Odéon.

 

TABLE

Préface, p. 1

L'escarboucle bleue, p. 9

Aventure de la bande mouchetée, p. 51

Le pouce du mécanicien, p. 99

L'aristocratique célibataire, p. 139

Le diadème de béryls, p. 181

Les hêtres pourpres, p. 227

(274 pages)

 

Paris, Imprimerie Paul Dupont 4 Rue Du Bouloi (Cl.). 331.3.09.

On note sur la page de titre le petit logo reconnaissable sur d'autres collections contemporaines.

Conan Doyle, Sherlock Holmes, les nouvelles en volumes chez Félix Juven
Conan Doyle, Sherlock Holmes, les nouvelles en volumes chez Félix JuvenConan Doyle, Sherlock Holmes, les nouvelles en volumes chez Félix Juven

Ce volume présente la particularité d'une préface, non signée, et à vrai dire assez verbeuse. On sent nettement l'embarras de l'auteur devant cette littérature nouvelle, qu'il désire à grand renfort d'indignation, différencier de celle de ces jeunes fous qui empruntent des chemins incompréhensibles. Il reprend assurance pour tracer le portrait de l'auteur qui l'a, visiblement, impressionné.

« À tous ceux qui s’intéressent aux choses litté­raires l’époque actuelle offre un vaste champ d’observations, aussi bien à l’étranger qu’en France. Notre siècle a vécu trop vite ; les inventions de la science, les modifications apportées à la vie jour­nalière se sont succédé trop rapidement pour que nos contemporains aient pu digérer suffisam­ment ces nouveautés, sans cesse renouvelées ; et bien des cerveaux inquiets ont rêvé de boulever­ser le domaine de l’intelligence comme on boule­versait sous leurs yeux le domaine de la science. C’est ainsi qu’en France on est arrivé du premier coup à une exagération ridicule. Pressés d’aban­donner cette belle langue simple et claire qui fai­sait une des beautés de notre littérature nationale en sachant prêter aux idées la forme que chacune d’elles réclamait, les jeunes ont voulu innover ; et avec l’étiquette de symbolistes, de décadents, d'égotistes1, etc., ils se sont rangés sous des bannières différentes qui toutes ne devraient porter en exergue que ce mot inscrit en lettres majuscules : mystificateurs.

En Angleterre ce mouvement intellectuel pour avoir été plus lent et plus sensible n’en existe pas moins. La littérature anglaise se traînait depuis bien longtemps dans une routine inquiétante, lorsque quelques écrivains se sont mis en passe de reconquérir leur indépendance. En dehors du souffle qui passait sur toutes les nations civilisées, les Anglais avaient d’autres raisons de voir leur littérature se transformer. Sans parler de l’Amérique, les colonies des Indes, du Cap, de l’Aus­tralie ont pris une autonomie assez grande pour savoir tenir leur place au point de vue intellectuel aussi bien qu’au point de vue financier ; et les fils de la brumeuse Albion, transportés dans ces pays du soleil, ont déjà fait souche de jeunes citoyens aux idées souvent bien différentes de celles de leurs pères.

Mais le développement d’un pareil sujet nous entraînerait bien trop loin et nous voulons simple­ment présenter aux lecteurs un des auteurs an­glais les plus en vogue en ce moment. La forme qu’il a adoptée, les sujets qu’il traite ne se confor­ment en rien au vieux moule dans lequel il y a peu d’années encore, se coulaient tous les romans classiques; et rien ne peut mieux prouver com­bien ce besoin d’un renouveau intellectuel se faisait sentir, que l’immense succès conquis par ses œuvres.

A trente ans, le docteur Conan Doyle jouissait d’une telle réputation que les Américains, qui aiment à contempler de près les célébrités contem­poraines, lui ont fait, il y a quelques années, un pont d’or pour venir donner en Amérique une série de conférences sur la littérature anglaise et en particulier sur son œuvre.

Cette œuvre peut se diviser en deux branches principales : l’une, se rattachant au genre histo­rique, dénote chez son auteur une profonde éru­dition et de patientes recherches ; c’est ainsi qu’a­vant de publier The white Company, récit militaire qui se passe moitié en Angleterre et moitié en France ou en Espagne, sous le règne d’Édouard III, il consacra deux années entières à l’étude du XIVe siècle. Naturellement c’est cette partie de son œuvre que l’auteur préfère, de même qu’une mère éprouve une prédilection particulière pour l’en­fant qu’elle a eu le plus de peine à élever.

L’autre genre, que le docteur Conan Doyle cultive avec un égal succès, est complètement différent : c’est celui dont nous comptons offrir un échantillon, convaincu qu’il intéressera les lec­teurs français comme il a passionné les lecteurs d’Angleterre, c’est le genre sensationnel des ro­mans à la Gaboriau ; mais dût notre orgueil na­tional en souffrir, alors que Gaboriau sait ex­traire de son cerveau inventif les complications les plus extraordinaires, le style, l’écriture pour em­ployer un mot du métier reste souvent bien infé­rieur. Doyle, au contraire, parle une langue sobre, ferme, souvent élégante, et se montre toujours écrivain de premier ordre.

Le M. Lecoq mis en scène par Conan Doyle se nomme Sherlock Holmes. Chose curieuse, ce policier amateur loin d’être un personnage fictif, créé de toutes pièces par l’imagination de l’au­teur, n’est que la reproduction presque exacte d’un type qu’a beaucoup fréquenté le docteur Doyle. C’était un vieux médecin militaire, professeur à l’hôpital d’Édimbourg et appelé de son vrai nom Joseph Bell. Son esprit d’observation, ses facultés de pénétration et de déduction étaient telles, qu’en voyant un client pour la première fois il devinait souvent les détails les plus secrets de son exis­tence et les révélait avec une justesse qui ne se trouvait jamais en défaut. Doyle le prit pour modèle de son Sherlock Holmes et inventa des his­toires sensationnelles pour mettre en relief des facultés aussi extraordinaires.

Le procédé de travail du docteur Doyle mérite d’être rapporté : il commence par concevoir le crime ou le fait qui sert de base à son récit ; puis il échafaude petit à petit, par une sorte de mé­thode synthétique, les complications et les diffi­cultés dont son héros va avoir à triompher.

Quelques notes biographiques sur le docteur Conan Doyle semblent devoir précéder la traduc­tion d’une de ses œuvres. D’origine écossaise, il appartient à une famille d’artistes, autrefois éta­blie à Édimbourg. Son grand-père, John Doyle, était le célèbre H. B. dont les caricatures politi­ques excitèrent pendant trente années consécu­tives la curiosité de ces contemporains sans qu’ils aient pu jamais percer l’anonymat de l’auteur. On peut voir quelques-unes de ses œuvres au British Muséum qui les a payées le prix respectable de quarante mille francs.

Le fils du précédent, Dicky Doyle, est l’auteur du dessin qui orne encore aujourd’hui la couverture du journal le Punch.

Conan Doyle, lui, fut envoyé à l’âge de neuf ans au collège des jésuites de Stonyhurst, car il était catholique. Ses goûts littéraires se dessinaient déjà. Bientôt en effet il fonda dans le collège une sorte de journal ; il en agit de même dans une université allemande où il fut envoyé quelques années plus tard ; mais là ses opinions libérales faillirent lui jouer un mauvais tour, car il fut sé­rieusement question de mettre à la porte le trop précoce journaliste. Revenu à Édimbourg, il com­mença ses études médicales qu’il interrompit toutefois pendant un an pour accomplir une expédition périlleuse dans les mers arctiques à bord d’un baleinier ; il n’avait alors que vingt et un ans. Une fois reçu docteur en médecine et après des voyages en Afrique et en Asie il se fixa à Southsea et put alors se livrer plus facilement à son goût pour la littérature. Mais ses premiers essais furent acceptés par les éditeurs à des prix telle­ment dérisoires qu’il n’osait abandonner sa car­rière. Cependant après l’immense succès obtenu par la White Company, il se décida à venir se fixer à Londres comme oculiste. A peine installé, cédant aux sollicitations qui lui venaient de toutes parts, il jeta définitivement la médecine par-dessus bord et se consacra tout entier à la littérature. C’est à cette époque que collaborant au Strand Maga­zine il y fit paraître les Aventures de Sherlock Holmes, dont le retentissement fut énorme et qui devait précéder de peu les Mémoires.

Au physique grand, large d’épaules, la figure ouverte quoique avec l’apparence plutôt timide, Conan Doyle présente à première vue l’image de la force. Tous les sports du reste lui sont fami­liers ; ce n'est pas l’homme d’études se renfermant dans son cabinet ; loin de là. Doué d’une grande puissance de travail, jointe à une facilité remar­quable, il écrit le matin et le soir, mais l’après-midi est consacrée aux exercices physiques où il ex­celle. De première force au cricket, au hockey, etc., l’été on le rencontre sur son tricycle-tandem, ac­compagné de M” Conan Doyle. L’hiver il chausse les skis, ces longues raquettes norvégiennes, et émerveille les guides suisses par les excursions invraisemblables qu’il accomplit dans les mon­tagnes recouvertes de neige des environs de Davos, Au résumé il est, comme compagnon, un homme charmant et dès qu’on le connaît on se sent attiré vers lui par une irrésistible sympathie.

L’attrait qu’on éprouve si vite pour l’homme, nous espérons que le public l’éprouvera pour l’œuvre. »

1 « d'égolistes » coquille dans le texte.

Préface des Aventures de Sherlock Holmes.
Préface des Aventures de Sherlock Holmes.Préface des Aventures de Sherlock Holmes.Préface des Aventures de Sherlock Holmes.

Préface des Aventures de Sherlock Holmes.

Les Nouvelles Aventures de Sherlock Holmes – Conan Doyle

Traduit de l'anglais par F. O.*

Paris, Félix Juven, Éditeur, 122 Rue Réaumur**

 

À la même librairie

et dans la Bibliothèque " Femina "

Les Aventures de Sherlock Holmes, 1er vol. 3.50

 

TABLE

 

Un Scandale en Bohême, p.1

L'Association des Hommes roux, p. 51

Un Cas d'identité, p. 101

Le Mystère de la vallée de Boscombe, p. 139

L'Aventure des cinq Pépins d'orange, p. 191

L'homme à la Lèvre retroussée, p. 229

(277 pages)

 

Paris, Imprimerie Paul Dupont 4 Rue Du Bouloi (Cl.). 530.10.07.

 

* Peut-être une coquille... ou l'initiale du prénom de son époux.

** Adresse de la librairie de Félix Juven

Conan Doyle, Sherlock Holmes, les nouvelles en volumes chez Félix Juven
Conan Doyle, Sherlock Holmes, les nouvelles en volumes chez Félix JuvenConan Doyle, Sherlock Holmes, les nouvelles en volumes chez Félix Juven

Souvenirs de Sherlock Holmes – Conan Doyle

Traduit de l'anglais par P. O.

Société d’Édition et de Publications

Paris, Librairie Félix Juven, 122 Rue Réaumur (2e)*

 

À la même librairie

et dans la Bibliothèque " Femina "

Les Aventures de Sherlock Holmes, 1er vol. 3.50

Les Nouvelles Aventures de Sherlock Holmes 3.50

 

TABLE

 

Silver Blaze, p. 1

Le Document volé, p. 57

Le Gloria Scott, p. 123

Le Visage jaune, p. 161

Le Commis d'agent de change, p. 195

Le Rituel des Musgrave, p. 229

(265 pages)

 

Paris, Imprimerie Paul Dupont 4 Rue Du Bouloi (Cl.). 554.10.07.

 

 

* Adresse de la librairie de Félix Juven

Conan Doyle, Sherlock Holmes, les nouvelles en volumes chez Félix Juven
Conan Doyle, Sherlock Holmes, les nouvelles en volumes chez Félix JuvenConan Doyle, Sherlock Holmes, les nouvelles en volumes chez Félix Juven

Nouveaux Exploits de Sherlock Holmes – Conan Doyle

Traducteur non crédité

Société d’Édition et de Publications

Paris, Librairie Félix Juven, 122 Rue Réaumur (2e)*

 

Du même auteur

À la même librairie

Les Aventures de Sherlock Holmes, 1er vol. in-18 jésus 3.50

Les Nouvelles Aventures de Sherlock Holmes, 1 vol. in-18 jésus 3.50

Les Nouvelles Aventures de Sherlock Holmes, 1 vol. in-18 jésus 3.50

 

Pour paraître prochainement :

La Résurrection de Sherlock Holmes, 1 vol. in-18. 3.50

 

TABLE

 

L'Homme estropié, p. 1

Le Cycliste solitaire, p. 39

Aventure de trois étudiants, p. 81

Les Propriétaires de Reigate, p. 119

L'Interprète grec, p. 159

Le Malade pensionnaire, p. 199

Le Problème final, p. 239

(276 pages)

 

Paris, Imprimerie Paul Dupont (Cl.). 499.12.05

 

 

* Adresse de la librairie de Félix Juven

Conan Doyle, Sherlock Holmes, les nouvelles en volumes chez Félix Juven
Conan Doyle, Sherlock Holmes, les nouvelles en volumes chez Félix JuvenConan Doyle, Sherlock Holmes, les nouvelles en volumes chez Félix Juven

La Résurrection de Sherlock Holmes – Conan Doyle

Traducteur non crédité

Société d’Édition et de Publications

Paris, Librairie Félix Juven, 122 Rue Réaumur*

 

À la même librairie

Du même auteur

Les Aventures de Sherlock Holmes, 1er vol. in-18 jésus 3.50

Les Nouvelles Aventures de Sherlock Holmes, 1 vol. in-18 jésus 3.50

Les Nouvelles Aventures de Sherlock Holmes, 1 vol. in-18 jésus 3.50

Nouveaux Exploits de Sherlock Holmes 3.50

 

Published 5 Octobre 1905. Privilege of copyright in the U.S.A. Reserved, under the act approved March 3 1905, by Société d’Édition et de Publications.

 

TABLE

 

La Maison vide, p. 1

L'Entrepreneur de Norwood, p. 51

Les Danseurs, p. 104

L'Ecole du Prieuré, p. 160

Peter le Noir, p. 227

(271 pages)

 

Paris, Imprimerie Paul Dupont 4, rue du Bouloi (Cl.). 494.12.1908

18

 

* Adresse de la librairie de Félix Juven

Conan Doyle, Sherlock Holmes, les nouvelles en volumes chez Félix Juven
Conan Doyle, Sherlock Holmes, les nouvelles en volumes chez Félix JuvenConan Doyle, Sherlock Holmes, les nouvelles en volumes chez Félix Juven

Sherlock Holmes Triomphe – Conan Doyle

Traduit par Henry Evie

Société d’Édition et de Publications

Paris, Librairie Félix Juven, 13 Rue De L'Odéon

 

À la même librairie

Du même auteur

Les Aventures de Sherlock Holmes, 1er vol. in-18 jésus 3.50

Les Nouvelles Aventures de Sherlock Holmes, 1 vol. in-18 jésus 3.50

Les Nouvelles Aventures de Sherlock Holmes, 1 vol. in-18 jésus 3.50

Nouveaux Exploits de Sherlock Holmes, 1 vol. 3.50

La Résurrection de Sherlock Holmes, 1 vol. in-18 3.50

 

TABLE

 

Charles-Auguste Milverton, p. 1

Les six « Napoléons » , p. 37

Le Pince-nez d'or, p. 83

Le Champion qui manque, p. 129

L'Abbaye de Grange, p. 173

La Seconde Tache, p. 221

(277 pages)

 

Paris, Imprimerie Paul Dupont 4, rue du Bouloi (Cl.). 447.9.1908

Conan Doyle, Sherlock Holmes, les nouvelles en volumes chez Félix Juven
Conan Doyle, Sherlock Holmes, les nouvelles en volumes chez Félix JuvenConan Doyle, Sherlock Holmes, les nouvelles en volumes chez Félix Juven

Humeur : Je signale aux aimables visiteurs que je comptais trouver des informations pertinentes et complètes sur le site officiel de l'holmésie hexagonale, id est la Société de Sherlock Holmes de France, les hauts dignitaires de cette savante association n'hésitant pas à se montrer exigeants et sans pitié pour les approximations, les interprétations tendancieuses du Canon et les erreurs fondées, ou non d'ailleurs. Hélas, cette sévérité dont ils s’enorgueillissent ne s'applique... qu'aux autres. La base bibliographique offerte au public n'a aucun intérêt, les références sont maigres et éparpillées (la traductrice est créditée pour trois personnes sans liens entre ses pseudonymes), sujettes à erreur même lorsqu'elles ont été « vérifiées » (Une étude en rouge, 22 pages pour la parution en roman), les représentations en images sont de mauvaise qualité et de résolution médiocre le plus souvent, barrées de surcroît d'un ridicule rappel de l'adresse du site. Cette notice a donc été rédigée sans l'aide de la SSHF, à partir de volumes en main et d'informations quêtées à la BNF, dans mes propres possessions, et par la grâce de descriptions plus complètes de libraires connaissant leur métier.

Toute information complémentaire ou contradictoire est la bienvenue, tout commentaire également (s'il ne s'agit pas de me convier à un repas fin et costumé en haut-de-forme sur air de stradivarius, j'ai très mauvais goût).

Conan Doyle, Sherlock Holmes, les nouvelles en volumes chez Félix Juven

Compléments

19 janvier 1906, une publicité de La Vie Illustrée n° 379 (revue publiée par Félix Juven) annonce la publication de Sherlock Holmes triomphe : "un beau vol. in-18 jésus : 3 fr. 50 franco".

in La Vie Illustrée n° 379

in La Vie Illustrée n° 379

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