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Amicale des Amateurs de Nids à Poussière

Amicale des Amateurs de Nids à Poussière

Le Blog de l'Amicale Des Amateurs de Nids À Poussière (A.D.A.N.A.P.) est un lieu de perdition dans lequel nous présentons revues, vieux papiers, journaux, ouvrages anciens ou récents, qui s'empilent un peu partout, avec un seul objectif : PARTAGER !

Enterrée vivante (tirage spécial) suivi de Rocabol le bandit

Collection le Rayon Vert, Les moutons électriques, 2015

 

Découvrir au début du troisième millénaire l’œuvre de l'écrivain Jules Lermina ouvre au lecteur ébloui un coffre aux multiples trésors. Il était polygraphe ce monsieur né au XIXe, mort le siècle suivant, et tâta de tous les genres et de toutes les péripéties de son temps : journaliste sur le terrain, vulgarisateur de l'Histoire, romancier populaire et feuilletoniste, militant politique, connaisseur des littératures nouvelles, l'anticipation et le récit criminel, critique féroce...

Il avança dans la vie curieux et l'esprit ouvert, et comme beaucoup d'intellectuels et de scientifiques, s'intéressa à l'occultisme ; un intérêt que certains aujourd'hui voudraient mettre en relief pour amoindrir une carrière que je qualifierai d'exemplaire à cette époque d'industrialisation mortifère, d'exploitation éhontée de la pauvreté, de fléaux et d'épidémies. Il faut voir avec un soupçon d'imagination ce jeune homme fluet, au visage aussi fin que celui d'une jeune femme qu'il essaye de mettre plus à la mode moustachue de l'époque, s'engager dans la vie littéraire avec assez de passion pour mériter la prison après la Commune, et l'estime de Victor Hugo. Il avança armé de sa seule plume dans tous les domaines des Lettres, égratigna au passage des sensibilités exquises de personnages respectables et, sans attacher plus d'importance à leur air scandalisé, s'obstina à fréquenter les bas-fonds comme les sociétés plus littéraires, ou même les amateurs de table tournante, pour écrire des vulgarisations, des dictionnaires d'Histoire, ou consacrés aux anarchistes, ou encore d'argot ; et des fictions, des nouvelles, des romans d'aventures de tous les genres.

Après le chevalier Dupin d'Edgar Poe qu'il admire, il crée son détective, Maurice Parent, et anticipe déjà avec ce personnage le Sherlock Holmes de Conan Doyle. Quand le détective anglais couvre le globe du récit de ses investigations, il invente Toto Fouinard, un enquêteur qui préfigure les futurs Nestor Burma ou Maigret. Ses goûts éclectiques et frondeurs le mènent sur tous les terrains, à la suite des grands romanciers populaires comme Dumas en poursuivant la saga de Monte-Cristo, vers le fantastique des nouvelles L'élixir de vie ou La deux fois morte, au cœur de l'anticipation dans laquelle il injecte humour et burlesque durant L'effrayante aventure, les genres exotique et cape et d'épée qu'il publie dans les journaux, et dans La Vie d'Aventures en particulier, entre 1907 et 1908. Jules Lermina a près de soixante-dix ans et en pleine possession de son talent et de son expérience, il écrit dans cette revue deux longues nouvelles de ces dernières inspirations, Enterrée vivante et Rocabol le bandit, qu'il signe de son pseudonyme américain William Cobb. Elles sont rééditées aujourd'hui à mon grand plaisir, avec les illustrations du célèbre Georges Conrad dont les amateurs connaissent la finesse de ses dessins inspirés et la richesse de ses couleurs, par les éditions Les moutons électriques.

Jules Lermina

Jules Lermina

Enterrée vivante est un récit résolument exotique, une aventure criminelle dans les îles et l'exploitation des grandeurs colonialistes... qui offrent surtout un lot de misère, de crimes et de souvenirs quelque peu répréhensibles. Il commence comme il le faut dans une histoire d'aventuriers sur le pont d'un paquebot. Oh non, pas l'un de ces transatlantiques luxueux qu'emprunteront les personnages d'Agatha Christie, le bâtiment s'approche plus du rafiot aux allures de trafiquant cabotant dans les limites maritimes de l'illégalité. À son bord, trois des principaux personnages, la proie, un colon enrichi qui entreprend son voyage de retour à la civilisation, aussi dangereuse que les deux gibiers de potence qui la traquent pour lui voler son butin, un trésor, des diamants... Lorsque l'aventurier canadien que l'âge a rattrapé décide de faire escale aux Antilles et remettre à son seul ami, son ancien compagnon d'exploration, ses pierres et pour mission lui garder tandis qu'il règle des affaires personnelles trop longtemps remises sur le territoire nord-américain, il ne se doute pas qu'il met dès lors en grand péril le Français, plus doux et installé dans ses plantations depuis assez longtemps pour avoir une famille : sa femme créole et une fille, une jeune femme au tempérament plus moderne et impétueux que sa mère, belle et fragile comme elle des nerfs. Entre le bonheur domestique des colons confortablement installés, bons avec leur domesticité comme le sont les patrons paternalistes, et la sauvagerie des deux criminels, rompus aux galères et à toutes les misères du monde, le drame peut débuter, sur l'océan, dans les îles, aux Amériques, et presque dans le monde entier en somme.
Si la morale sera sauve à la fin, punissant les assassins et réservant aux colons une épilogue matrimoniale attendue des lecteurs de l'époque en ce début du XXe siècle, les véritables héros sont le couple fraternel des deux ignobles crapules ; les instants les plus dramatiques de terreur, de douleur et de pactes sanglants sont les leurs. Ils sont infects ces prédateurs, et n'ont guère d'hésitation quand il faut régler dans la violence leur affaire, qu'il s'agisse de victimes aussi frêles qu'une orpheline négrillonne plus fine et sincère que ses maîtres blancs dans la folie qu'a engendré le monde esclavagiste, ou la jeune fille fraîche de l'innocence généreuse des adolescentes. Pourtant, Jules Lermina profite de l'attention de son lecteur pour lui glisser discrètement les conditions de vie déplorables de toutes ces populations qu'un seul frôlement de l'adversité impitoyable fait basculer dans le crime. L'écrivain est un as de la description, il maîtrise l'art de camper en quelques lignes un décor plus tangible que ceux en carton-pâte d'un vieux film muet, et peut-être bien que ceux trop léchés aux effets spéciaux des productions contemporaines.

Enterrée vivante, Jules Lermina, couverture de Conrad, éditions Les moutons électriques - 2015

Enterrée vivante, Jules Lermina, couverture de Conrad, éditions Les moutons électriques - 2015

« Toute grande ville, si luxueuse, si régulière qu’elle s’affirme, a ses coins de désordre, tant moral qu’architectural. Londres a ses Seven Dials et les taudis de Green Lane et d’Hounsditch, Paris a ses ruelles de la place Maubert, ses cloaques des rues Saint-Denis et Saint-Martin, ses Maubuée et ses Venise.

New-York, quoique ville moins ancienne, a, tout proche de ses plus magnifiques voies, de Broadway, de Madison, d’Union Park et de Wall Street, la rue des affaires, une agglomération, un faubourg intérieur, refuge des gredins, exploiteurs, vagabonds, aigrefins qui pullulent dans toutes les capitales.

Il s’appelle le Bowery.

C’est plutôt une place, en ellipse irrégulière, dans laquelle grouillent tous les spécimens de la malechance humaine, de toutes les nations aussi, évadés des misères d’ailleurs pour venir croupir dans celle d’ici, Américains du Nord, du Sud, décavés des mines de l’Ouest, épaves des entreprises milliardaires retombées au bas-fonds de l’égout, Chinois, métisses, mulâtres, puis une colonie juive, auprès de laquelle celle des environs de Cheapside, à Londres, paraîtrait élégante.

Boutiques crasseuses, bazars puants, tavernes borgnes, hôtels d’allures invraisemblables, Bowery et ses rues adjacentes, Mulberry et Boxler, sont le réceptacle de toutes pourritures, l’alambic de toutes ivrogneries, le fourneau où mijotent les projets les plus criminels.

Là, se blottissent, tranquilles, et à l’abri de la police, les outlaws de tout acabit, depuis le bandit oublié jusqu’au swell, l’escroc, qui sort de son repaire sous un costume acceptable, va faire sa tournée en ville, et selon que la chance l’a ou non favorisé, reste en un hôtel de Broadway ou revient se terrer dans son taudis. »

La vie d'aventures de Jules Lermina au cours des siècles et autour du monde

Une description que Jules Lermina a peut-être empruntée aux photos de Jacob Riis, émigrant danois parvenu à devenir journaliste d'investigation pour la police, puis s'engageant dans une croisade solitaire pour réveiller la conscience des New Yorkais. Le livre qu'il finit par réussir à publier en 1880 fut pour beaucoup dans l'attention qu'on accorda enfin aux immigrants qui vivaient là, dans le Lower East Side. Le livre était titré « How the Other Half Lives » : «Comment l'autre moitié vit ». Étonnamment, ce titre est inspiré par un vieux classique français, La Vie de Gargantua et de Pantagruel de notre Rabelais : « la moytié du monde ne sait comment l'autre vit. »

Lermina insiste sur la répulsion classique quand il décrit Bowery la première fois, il va clandestinement la contourner par la suite et présenter aux lecteurs sérieusement touchés par les préjugés de percevoir peut-être les méfaits de la misère qu'ils voudraient ignorer. Je me répéterai en disant que ces préjugés resurgissent de plus belle un siècle plus tard comme si le passé n'avait pas déjà administré la leçon, souvent.

La vie d'aventures de Jules Lermina au cours des siècles et autour du monde

Rocabol le bandit quitte les touffeurs des îles et le siècle des bateaux à vapeur pour les péripéties des aventures de cape et d'épée. À la fin du XVIe siècle, la vie est dure en France, mortelle pour ceux qui n'ont ni particule ni fortune, dangereuse pour chacun, destructrice pour les femmes soumises à tous, gare à elles si elles s'écartent du droit chemin qu'on leur impose, et malheur aux fruits de leurs entrailles. Le héros est l'un de ces bâtards, né de l'union entre une jeune noble, promise à faire la dot d'un pair choisi par son père, et un paysan joliment tourné et romantique, tous deux bien inconséquents et naïfs. Leur malchance d'avoir fauté vis-à-vis de la société se double lorsqu'ils deviennent les victimes d'hommes plus cruels encore que la morale l'exige, motivés par les appâts de la richesse et des honneurs. Ils arrachent l'enfant à la première et la marie contre son gré au despote aigri qui la convoitait, elle lui donne une fille et meurt. L'autre est calomnié, jugé et fait forçat, devient difforme et mutilé autant au physique que de l'esprit. Leur fils grandit, sauvé de la mort par hasard, et développe l'âme d'un de ces voyous qui hante Paris, un peu plus intelligent ou audacieux, sa jolie figure l'aide à faire sa route sur les bas-côtés. Toutefois, il boit, trop, il boit jusqu'à perdre le sens commun, et bientôt emprisonné, puis soldat pour commuer la peine, il sauvera, par l'un de ces miracles qu'aiment inventer les écrivains d'aventures échevelées, son père des chaînes. Ils se reconnaîtront et dans un pacte des croquants, jureront d'appliquer la vengeance la plus féroce, le plus âgé de son lit d'agonie, le plus jeune sera le bras armé.

Celui qui se nomme à présent Rocabol, mi-justicier des miséreux, mi-bourreau des persécuteurs de ses parents, multiplie les vols et les assassinats astucieux qui enchantent et terrifient la population. Comme rien n'est jamais simple dans les romans de cape et d'épée, c'est alors que sa mère découvre enfin sa trace et, abusée, meurtrie et désespérée, lui confie avant de rendre son dernier souffle la protection de sa demi-sœur, promise à un destin pire que le sien, en voie d'être offerte au sérail du roi. Voilà Rocabol le furieux pris entre deux feux, sa mère n'a jamais trahi l'homme qu'elle aimait comme celui-ci l'a cru, la toute jeune fille bien que née du monstre qu'il veut tuer est une autre victime sans défense qu'il ne peut plus immoler sans devenir identique à leurs pères tous deux emmurés dans la haine. Et pourtant, il faut bien que la vengeance s'accomplisse...

Ah, ne croyez pas que ce soit tout ! Rocabol le bandit est rocambolesque de toutes les manières possibles, et je ne doute pas que son nom n'ait été choisi pour sa ressemblance avec le fameux Rocambole de Ponson du Terrail. Jules Lermina emploie toutes les ficelles dramatiques, terrifiantes, horribles, burlesques parfois, mais aussi touchantes et fleur-bleue pour faire vivre ses personnages, ses héros et les seconds rôles, avec une maestria que bien des auteurs lui envieraient. Les caractères sont brossés en quelques traits énergiques qui les rendent plus vivants qu'un tableau animé, les décors apparaissent nettement avec le détail qui fait mouche sans s'imposer, et l'intrigue aussi emmêlée que paraisse l'écheveau dont elle est tirée tisse un motif jacquard complexe et parfaitement maîtrisé.

Rocabol le bandit, Jules Lermina, couverture de Conrad, éditions Les moutons électriques - 2015

Rocabol le bandit, Jules Lermina, couverture de Conrad, éditions Les moutons électriques - 2015

À cette heure matinale, dans un de ces sous-sols mystérieux, la troupe de Rocabol se reposait : sur des planches placées sur des ais boiteux, des reliefs de victuailles traînaient à côté de cruchons vides. On avait fait ripaille, et ces estimables gredins maintenant se tassaient, pêle-mêle, véritable monceau de haillons, de chapeaux à plumet, de bottes, d’armes traînant sur le sol. Des ronflements sonores rythmaient cette scène d’orgie, digne du pinceau d’un Salvator Rosa.

Ils étaient tous là, Le Flandrin, Brise-Gueule, Avignon, Belle-Jambe, et aussi bien d’autres, faisant partie d’escouades qui avaient travaillé en d’autres quartiers, le Drillon, le Manchot, la Tête-de-Mouton et le célèbre Va-de-bon-Cœur qui avait été pendu deux fois et deux fois avait tiré son cou du fatal nœud coulant.

Pour le moment, un tas d’ivrognes dont deux archers auraient eu raison.

Assommés à ce point par l’ivresse que nul ne fit un mouvement quand, peu après que le beffroi de Saint-Laurent eut sonné six heures, une toile s’ouvrit dans l’épaisseur du mur et un homme entra, à allures de reître, énormes moustaches rousses, teint enflammé.

Il regarda autour de lui à la lueur de la torche fumeuse accrochée au mur et eût un haussement d’épaules :

« Brutes ! » gronda-t-il.

La vie d'aventures de Jules Lermina au cours des siècles et autour du monde

Le récit s'achève sur la punition inévitable, mais pas avant que les véritables monstres qui se pensaient à l'abri de toute justice n'aient été détruits. La religion entre par la petite porte obligatoire pour respecter l'époque, pas plus, et la jeune fille endosse le fardeau de sa généalogie, victimes et bourreaux, pour commencer une meilleure vie aux côtés de l'élu de son cœur, plus solides ensemble avec la vérité que déjà séparés par un mensonge. Jules Lermina reste lui-même, attaché à transmettre quelques leçons jusque dans l'Histoire métamorphosée en traditionnel roman d'aventures.

Illustration de Georges Conrad pour Rocabol le bandit.

Illustration de Georges Conrad pour Rocabol le bandit.

Je porte à votre attention un petit cas mystérieux que ni moi lors de ma lecture ni ceux à qui j'ai exposé l'affaire n'avons réussi à résoudre jusqu'à présent : "lapendère" est un mot employé par Lermina dans ce roman situé aux alentours de 1700, inconnu partout où nous avons fouillé.

 

« [...] il y a deux cents ans à peine, des terrains vagues, des ruelles sans nom, de véritables coupe-gorge, au milieu desquels émergeaient de loin en loin les parcs clos de murs des enclos Saint-Laurent et Saint Lazare, ce dernier avec sa lapendère et son moulin, dont la silhouette décharnée se dressait sur le ciel. »

 

Ce n'est pourtant pas une erreur de reproduction du texte, ou alors elle fut produite à l'origine dans le journal de 1907. Après des recherches sur le réseau, dans les livres numérisés, et dans quelques dictionnaires d'époque, sans succès si ce n'est des hypothèses hasardeuses, j'ai pensé à un nom propre, un lieu-dit, sis à l'enclos de Saint Lazare, que Lermina décrit, entre le XVIIe et le XVIIIe, les plans consultés sont demeurés muets.

Si quelque savant avait une idée sur ce mot énigmatique, qu'il n'hésite pas à transmettre son savoir. Sinon, eh bien, le mot gardera tout son mystère, un mot de Jules Lermina.

La vie d'aventures de Jules Lermina au cours des siècles et autour du monde

Les amis de Jules Lermina sont nombreux quoique un peu disséminés à première vue... et pourtant, pas autant qu'on pourrait le croire. Rien ne m'oblige à nier ma participation active à plusieurs projets qui le concernaient pour paraître tenir un semblant d'objectivité consensuelle, j'en suis fière, ni dissimuler l'implication de certains de mes camarades : c'est l'admiration que nous portons à l’œuvre de cet écrivain qui nous a réunis pour tenter de le remettre au « goût du jour » sans modifier un seul mot qu'il écrivit il y a plus d'un siècle. La revue Le Rocambole lui a consacré un double numéro en été 2008 sous la direction de Jean-Luc Buard, e-Bulles d'encre, micro-édition numérique de Mérédith Debaque a entamé un cycle illustré à sa mémoire. Les éditions des Moutons électriques et son maître d’œuvre, André-François Ruaud, ont choisi de rééditer le classique de l'anticipation ancienne, L'effrayante aventure, puis de publier sous notre direction conjointe deux textes issus des enquêtes de Maurice Parent et de Toto Fouinard dans l'anthologie Détectives Rétro. Nul ne sera étonné que nous retrouvions à cette occasion Jean-Luc Buard qui fournit le deuxième texte rare. J'ai pu partager encore une nouvelle aventure autour de Lermina et suivre de près le lancement pour la première fois en volume de ces deux novella, seulement parues en pré-publication dans La Vie d'Aventures au début du XXe siècle.

Comme pour L'effrayante aventure, ce recueil de deux longues nouvelles est un beau livre cartonné, toilé, ferré, protégé par une jaquette illustrée en couleurs, mis en page avec soin et servi par les illustrations d'origine, de Conrad. Ces deux livres sont un tribut éditorial, un acte que j'oserai qualifier de militant pour célébrer un écrivain oublié trop vite, peut-être parce qu'il n'a jamais cessé de son vivant d'appliquer un honnête et sincère franc-parler. Son talent toujours d'actualité mérite une véritable édition « hard cover » de prestige, comme elle se doit pour promouvoir la littérature.

 

L'Effrayante aventure, par Jules Lermina, Les moutons électriques

Détectives Rétro, anthologie, Les moutons électriques

Le Rocambole n° 43/44 Été-Automne 2008, publication de l'Association des Amis du Roman Populaire.

e-Bulles d'encre

 

La vie d'aventures de Jules Lermina au cours des siècles et autour du mondeLa vie d'aventures de Jules Lermina au cours des siècles et autour du monde

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